Le 25 octobre, 6 bolcheviks entrent à la Douma, un bon début selon le Parti. Sosso se rend alors à Cracovie pour rencontrer Lénine avec qui il s’oppose sur un point majeur, le Géorgien estimant qu’il faut se concilier les bonnes grâces des mencheviks afin de faire triompher la Révolution. Lors de sa visite suivante, en décembre, il se verra reprocher par Lénine ses éditoriaux trop « conciliateurs » dans la Pravda et le dessaisira de la direction du quotidien. À cette occasion, il se liera d’amitié avec Malinovski, un proche de Lénine, qui est en fait un agent de l’Okhrana. Sosso se rend ensuite à Vienne, chez le futur éditeur de l’essai qu’il est en train d’écrire sur la politique bolchevique des nationalités. Il y rencontre Boukharine, début d’une amitié qui finira mal pour le second, liquidé d’une balle dans la tête en 1938. Toujours à Vienne, Sosso croise Trotsky, qu’il méprise,
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