Cinquième République : Comment l’élection présidentielle a été gravement dévoyée. Par Maxime Tandonnet

par Maxime Tandonnet « Que Dieu et le peuple se prononcent ! Il faut laisser quelque chose à la providence ! » À la veille de l’adoption de la Constitution de la Deuxième République, le 7 octobre 1848, Lamartine se prononçait par ses mots en faveur de l’élection du président de la République au suffrage

la loi tréveneuc du 23 février 1872 par Bruno Fuligni

Les élus locaux ont normalement des compétences locales et non nationales. Il existe toutefois des exceptions à la règle… Les maires d’abord, par dédoublement fonctionnel, assurent aussi des fonctions de l’État, comme la tenue de l’état civil. Et ce sont eux qui détiennent les clefs de la présidentielle, puisqu’il faut cinq

Les élections de 1981: La Grande Peur des Bien-portants par Pierre-Yves Rougeyron

Dans la mémoire collective, les années Mitterrand restent associées à quelques réformes symboliques et à l’émergence de la « gauche caviar ». Peu se rappellent combien l’arrivée au pouvoir de la gauche a fait naître de fantasmes dans la droite patronale. Imagerie des soviets, inconscience du rapport de force réel de la Guerre

La présidentielle de 1965 Le duel de Gaulle-Mitterrand

par Pierre-Yves Rougeyron La Constitution de la Vème République n’inclut pas dès 1958 l’élection du Président de la République au suffrage direct. Entre 1958 et 1962, le Président est élu par un collège de 81 754 grands électeurs. Le Président de la République étant la « clé de voûte » des institutions d’après Michel

Entretien avec Eric Anceau : la première élection présidentielle de l’histoire 1848

Décembre 1848, les Français élisent un président de la République au "suffrage universel masculin" direct. L'événement n'a pas de précédent et ne sera pas renouvelé avant la Cinquième République, conséquence parmi d'autres de l'issue du scrutin et de ce qu'il entraîne. Entretien... Comment et pourquoi le suffrage universel (en réalité masculin)

Entretien avec Patrice Gueniffey. La Révolution française et les élections Le nombre et la raison.

Salué et préfacé à sa sortie par le grand historien François Furet, voici trente ans, l’ouvrage de Patrice Gueniffey a été récemment réédité par les éditions du Cerf et se révèle d’une surprenante actualité. Le principe électif a été au cœur de la Révolution française comme moyen légitime et légal